Tous les propriétaires de chien
ont été, à un moment ou un autre, concernés par la vaccination de leurs
chers compagnons à quatre pattes.
Que ce soit à la suite d'une
maladie, par le discours d'un éleveur ou en y étant sensibilisés par un
vétérinaire. Même la publicité s'y est mise avec le message : Je l'aime,
je le vaccine. Sous-entendu que si vous ne le vaccinez pas, vous ne
l'aimez pas. Ou comment vraiment vous faire culpabiliser avec cette
campagne pour le compte de Virbac, laboratoire pharmaceutique et
fabricant de vaccins.
campagne de sensibilisation à la vaccination - annonceur : Virbac |
Il est plutôt naturel de faire
confiance en la parole d'un professionnel de la santé quand ce dernier
vous dit qu'il faut mettre en place un protocole de vaccination et que
chaque année, il faudra lui amener votre chien pour effectuer un rappel.
Certains allant même jusqu'à
vous conseiller de ne pas trop sortir le chien entre la
primo-vaccination (aux alentours de 7 semaines) et le rappel (aux
alentours de 3 mois) afin d'éviter une exposition à d'éventuelles
maladies.
Alors, qu'en est-il vraiment ?
Faut-il réellement suivre le protocole de vaccination sans se poser de
question ? Existe-t-il un risque pour la santé du chien ?
Pour répondre à ces questions,
je vous propose la (longue) lecture d'une étude faite par Don Hamilton.
En bas de page, des liens vers d'autres études sont disponibles.
Vaccination en médecine vétérinaire : Chiens et Chats
Health Hazzard Of Routine Vaccinations par Don Hamilton, Docteur en médecine vétérinaire / traduit par mes soins (j'espère pas trop maladroitement)
Source : http://www.thenaturalcarnivore.com/health-hazzards-of-routine-vaccinations.html
Source : http://www.thenaturalcarnivore.com/health-hazzards-of-routine-vaccinations.html
Une pratique qui a commencé il y
a de nombreuses années et qui manque de validité scientifique sur la
nécessité de rappels annuels de vaccination. Presque sans exception, il n'y a pas de nécessité immunologique à la revaccination annuelle. L'immunité aux virus persiste pendant des années ou pour la vie chez l'animal.
Une vaccination réussie à la plupart des agents pathogènes bactériens
produit une mémoire immunologique qui reste pendant des années, ce qui
permet à l'animal de développer une réponse de protection anamnestique
(secondaire) lorsqu'il est exposé à des organismes virulents. Seule la
réponse immunitaire à des toxines nécessite des boosters (comme par
exemple le booster de la toxine du tétanos, chez l'homme, qui est
recommandé une fois tous les 7 à 10 ans). En outre, la revaccination
pour la plupart des vaccins viraux ne parvient pas à stimuler une
réponse anamnestique (secondaire) en raison de l'interférence avec les
anticorps existants (semblable à des interférences avec les anticorps
maternels). À notre avis, la pratique de la vaccination annuelle devrait
être considérée d'une efficacité douteuse, sauf si elle est utilisée
comme un moyen de fournir un examen physique annuel ou est requise par
la loi (certains Etats qui exigent une revaccination annuelle contre la
rage). (1)
En résumé : les
rappels annuels sont inutiles et n'offrent aucun avantage (l'immunité
n'est pas augmentée). Ainsi les rappels sont soit une question juridique
(comme pour la rage) soit une manipulation (induisant que les clients
doivent venir pour un examen plutôt que de leur proposer directement un
examen).
La question de la vaccination
initiale est moins évidente que celle des rappels. De nombreux
cliniciens estiment que sans vaccination, ils verraient des foyers de
maladie, en particulier la parvovirose canine. Cela peut être un
problème difficile à résoudre. En effet, un dilemme fondamental est que
la vaccination conduit à l'affaiblissement des gènes, et donc à la santé
globale d'une population donnée. On suggère que cela permet aux
individus de vivre ou sinon ils succomberaient à la maladie, bien que la
maladie soit un moyen naturel de "nettoyer" et de renforcer ainsi cette
population. De nos jours, cela présente naturellement un dilemme moral
(notre compréhension de la pensée indigène ou autochtone suggère que
laisser mourir des individus faibles était implicitement compris comme
non seulement acceptable mais aussi naturel). La société occidentale
valorise le droit de vivre de l'individu, donc nous faisons des efforts
pour sauver tous les individus. Toute réponse à cette question réside
naturellement chez l'individu concerné.
Ensuite, une théorie plus
convaincante sur le mécanisme d'interaction entre un vaccin et le corps
suggère que les vaccins "protègent" contre la maladie aiguë, non par la
prévention de la maladie mais en changeant la forme de la maladie en une
maladie chronique. (2)
Par exemple, le virus de la
panleucopénie des chats induit un dysfonctionnement intense et à la
progression rapide dans le tube digestif, ce qui conduit à des
vomissements et/ou de la diarrhée. Pour des animaux adultes et vaccinés,
cela se traduit par une diarrhée chronique et parfois des vomissements.
Cette maladie est connue comme une maladie intestinale inflammatoire
(MII), une maladie auto-immune de l'intestin. La MII est apparue à des
niveaux proches de l'épidémie au cours de ces dernières années ; aucune
autre explication raisonnable n'a été proposée pour la prolifération des
cas de cette maladie.
Les vaccinations sont connues pour être un déclencheur important d'autres processus auto-immunes chez des individus sensibles, (3) il est donc raisonnable de soupçonner que les vaccins puissent déclencher des MII.
Un autre aspect de l'infection par le virus de la panleucopénie,
implicite par le nom du virus, est le nombre de globules blancs réduit
considérablement et correspondant à un déficit immunitaire. Se
pourrait-il que l'apparition de la maladies virale de la leucémie féline
et, plus tard, de la maladie virale de l'immunodéficience féline puisse
être liée à la vaccination pour la panleucopénie au cours des deux
décennies précédentes ? Le logique de cette théorie ne permet pas de
révoquer facilement une relation probable de cause à effet. Ces deux
maladies produisent un faible nombre de globules blancs dans le sang et
une immunodéficience dans le cadre de leurs symptômes complexes.
Des connexions similaires ont
été proposées entre la maladie de Carré, la toux du chenil et les
parvoviroses canines comme "la maladie de Carré" qui comprennent un
symptôme de pneumonie ainsi que de diarrhée sévère. Une toux chronique
est caractéristique de la toux de chenil ; la parvovirose affecte les
intestins, produisant une diarrhée sévère et des vomissements. En
outre, l'incidence de la maladie inflammatoire de l'intestin chez les
chiens semble être à la hausse depuis une ou deux années. La
vaccination des chiens contre la parvovirose est en vigueur depuis
quinze ans, en contraste avec l'histoire beaucoup plus longue de la
vaccination contre la parvovirose chez les chats (le virus de la
panleucopénie féline est un membre de la famille des parvovirus). Cela
laisse présager un avenir effrayant pour les chiens si cette connexion
est avérée.
Enfin,
des connexions sont proposées entre la vaccination contre la rage et un
nombre croissant d'animaux agressifs et craintifs. Les problèmes
visibles de comportement sont aujourd'hui un phénomène récent, qui
était rare il y a seulement deux à trois décennies. (4)
Leur émergence coïncide avec la
pratique de la vaccination répétée des adultes, ce qui suggère la
nécessité d'examiner cette relation. Des comportements agressifs ont été observés chez les chiens pendant plusieurs jours après la vaccination contre la rage, même avec des vaccins non-infectieux [tués]. (5, 6)
Comme les praticiens ont pour
responsabilité le bien-être de leurs patients, les vétérinaires sont
confrontés à un défi lorsqu'il s'agit de maladies aiguës. Les
vaccinations peuvent prévenir ces maladies aiguës, mais si c'est pour
une maladie chronique à vie en échange, est-ce vraiment une option
viable ? (Viable vient de vie en français, la question est donc de
savoir si le patient vivra et s'épanouira ou ne fera qu'exister)
Premièrement,
rappelons que les rappels de vaccins sont inutiles, nous pouvons
arrêter toute vaccination après un an d'âge pour presque toutes les
maladies (voir ci-dessous ; la rage est exigée par la loi de
sorte que nous devons travailler à changer les lois afin qu'elles soient
en conformité avec les faits plutôt que la peur).
Comme
la répétition augmente naturellement le risque de problèmes, nous
pouvons réduire considérablement les effets secondaires sans risque
supplémentaire pour le patient en stoppant simplement les rappels pour
adultes. Bien sûr, il y aura toujours un certain risque, même avec les
vaccinations initiales, mais aucun risque de contracter une maladie
aiguë lorsque l'animal est déjà immunisé par les premiers vaccins. Voir ci-dessous pour la durée de l'immunité aux différentes maladies pour lesquelles il existe des vaccins.
Deuxièmement, tous les vaccins devraient être administrés comme antigènes uniques.
(Un antigène est quelque chose qui est capable d'induire une réponse
immunitaire, dans ce cas, un organisme viral ou bactérien à partir
duquel un vaccin est produit). Cela signifie qu'il ne faut pas utiliser de vaccins combinés, devenus tellement courants de nos jours.
L'exposition naturelle aux maladies est normalement d'une à la fois, et
le corps est probablement plus apte à répondre à un seul antigène en
produisant une immunité sans effet indésirable plutôt que de réagir à
des antigènes combinés. Par conséquent, plutôt que de donner un groupe
d'antigènes à trois ou quatre semaines d'intervalle, les composants
individuels devraient être donnés en utilisant un programme alternatif
avec un minimum de répétition (Cf. ci-après).
Troisièmement, ne vacciner que pour les maladies qui répondent à tous les critères suivants :
-
La maladie est grave voire mortelle
-
L'animal est ou sera exposé à la maladie
-
Le vaccin de la maladie est connue pour être efficace
-
Le vaccin contre la maladie est considérée comme sûr
Prenons le virus de la leucémie
féline (FeLV en anglais pour Feline Leukemia Virus) comme exemple de
maladie. Un seul chat d'intérieur ne sera pas exposé car cela nécessite
un contact intime et direct de chat à chat. Pourtant, beaucoup de
vétérinaires recommandent d'immuniser les chats d'intérieur contre cette
maladie. Je crois que c'est contraire à l'éthique. Cette maladie ne
correspond pas aux critères 3 et 4 selon ma propre expérience, et donc
la vaccination n'est pas justifiée dans la plupart sinon toutes les
circonstances.
La maladie virale de la
péritonite infectieuse féline (PIF) est une autre maladie qui ne répond
pas aux critères 3 et 4. Le vaccin contre la PIF a été généralement
inefficace et a produit des effets secondaires graves. Parmi les effets
secondaires que j'ai observés pour la PIF et la FeLV, il y avait
l'induction de maladie clinique qu'ils étaient censés permettre
d'éviter.
Chez les chiens, le virus de
l'hépatite canine (CH en anglais) est presque inexistant (le vaccin pour
prévenir le CH est l'Adenovirus-2).
La leptospirose est extrêmement rare et n'est pas souvent du même sérotype que celui utilisé dans le vaccin (7), et le vaccin bactérien pour "lepto" est très sensible aux effets secondaires.
Le maladie du coronavirus n'a
jamais été une menace sérieuse, sauf pour les comptes bancaires des
compagnons des chiens. C'est aussi vrai pour la maladie de Lyme, sauf
peut-être dans quelques petites régions.
La maladie la toux du chenil
n'est généralement pas grave (ne répond pas au critère 1), et une étude a
montré que la vaccination est inefficace voire même contre-productive. (8)
La vaccination devrait être
limitée à des circonstances à haut risque, voire ne pas du tout être
faite. Une situation similaire existe avec les maladies félines des
voies respiratoires supérieures ; la plupart ne sont pas graves, sauf
chez les très jeunes chatons qui contractent la maladie avant que les
vaccins soient généralement administrés.
La rage est une autre maladie
pour laquelle les chats d'intérieur et les chiens bien confinés ne sont
pas exposés, de sorte que le vaccin est inutile cliniquement bien
qu'exigé par la loi (ndlr - selon certains critères et certains pays).
Quatrièmement, les vaccins ne doivent JAMAIS être administrés à des animaux malades.
C'est une pratique qui gagne en popularité chez les vétérinaires pour une raison étrange, et cela
va à l'encontre des recommandations pour toutes les insertions de
vaccins ainsi que de l'avis de pratiquement tous les immunologistes. De
mon point de vue, c'est une faute professionnelle.
Une option plus audacieuce est
de refuser totalement les vaccinations, en reconnaissant le risque
inhérent à l'administration d'un seul vaccin dans le corps et étant prêt
à accepter le risque de ne pas immuniser. Bien que le risque existe si
les animaux ne sont pas vaccinés, il peut être modéré significativement
par une alimentation de meilleure qualité (préparation maison incluant
de la viande fraîche et crue) et en limitant l'exposition jusqu'à ce que
les animaux soient âgés de six à huit mois.
Un animal non vacciné sera
nettement moins susceptible de souffrir d'allergies et de nombreux
problèmes de santé. Des réactions allergiques de la peau ont été
associés à l'administration du vaccin (9), et un nombre considérable de chiens et chats ont des allergies cutanées aujourd'hui.
Certaines autres maladies pour
lesquelles des liens avec les vaccins sont connus ou soupçonnés
comprennent l'épilepsie, les troubles de la thyroïde (10)
(hyper et hypothyroïdie), l'hépatite chronique, l'insuffisance rénale,
la cystite ou maladie des voies urinaires inférieures (en particulier
chez les chats), anémie hémolytique auto-immune (11), les maladies neurologiques comme la confusion et l'incapacité d'être "présent", l'asthme et ainsi de suite.
Chez l'homme le syndrome de mort subite du nourrisson est fortement liée à la vaccination DTC (12), comme le sont la maladie du déficit de l'attention/hyperactivité et l'autisme (13), parmi beaucoup d'autres, y compris de graves lésions cérébrales.
Pourquoi les vaccins sont pire que l'exposition naturelle ?
Probablement parce que les
principaux facteurs sont les moyens artificiels par lesquels
l'exposition est créée avec les vaccins et la répétition.
À quelques exceptions près
(principalement la rage et parfois le virus de la leucémie féline ou le
virus de l'immunodéficience féline), les organismes infectieux sont
transmis par l'exposition orale et nasale, et la réponse commence au
niveau oral/nasal avec la reconnaissance d'un corps étranger ou d'un
organisme suivie par la destruction non-spécifique initiale et
l'élimination de l'organisme sur le site local de l'exposition, ainsi
que dans la circulation sanguine où un organisme ne peut même pas
atteindre l'intérieur pour causer une maladie profonde mais peut être
repoussé avec succès à la périphérie.
Dans d'autres cas, le corps
aurait un temps de latence de plusieurs heures voire de plusieurs jours
pour commencer à élaborer une réponse avant que "l'envahisseur" atteigne
les organes intérieurs. En conséquence, la plus profonde pathologie
peut être minimisée ou même évitée. Cette pathologie d'organe intérieur
peut être une conséquence directe de l'organisme, ou une conséquence
indirecte se manifestant par les antigènes-anticorps complexes ou
d'autres composants du système immunitaire. Ces composants peuvent
endommager par inadvertance les tissus du corps ou peuvent directement
attaquer ou envahir les tissus en raison de problèmes de reconnaissance
(maladies auto-immunes). Ce dernier peut se produire à cause d'une
similitude entre les structures de l'organisme et les tissus hôte ;
souvent il s'agit des nucléoprotéines (ADN ou ARN), des molécules qui
sont importantes pour la régulation de l'activité au niveau cellulaire.
Lorsqu'un vaccin est administré,
l'organisme est injecté directement dans les tissus du corps, en
contournant les réponses immunitaires locales. Lorsque cela se produit,
une grande partie du système immunitaire est rendu inutile. Le corps
doit alors compenser en augmentant l'activité de l'équilibre du système,
et les défenses sont compromises avec la présence de l'organisme dans
le sang. Dans la circulation sanguine, les principaux aspects du système
immunitaire sont des anticorps, des protéines qui se fixent à
l'organisme et aident à sa destruction. Bien qu'il s'agisse seulement
d'une partie des défenses, ces anticorps deviennent une lourde
responsabilité dans un vaccin (injection) induit par l'invasion,
initiant ainsi une réponse hyperactive.
En outre, la préparation des
vaccins est souvent rendue inefficace par la structure intégrale du
virus ou des bactéries, ce qui expose les sténoses internes tels que
l'ADN ou l'ARN viral (selon le virus) au système immunitaire, conduisant
à la production d'anticorps contre ces lourds nucléoprotéines. Les
nucléoprotéines sont relativement similaires dans toutes les formes de
vie, et les anticorps de l'hôte peuvent perdre l'hyperactivité induite
par la production d'anticorps. Le résultat pourrait être un anticorps à
l'origine de la destruction du tissu hôte, et une maladie auto-immune.
Dans une exposition naturelle, les anticorps seraient davantage dirigés à
des structures externes, moins similaire aux tissus hôte et donc moins
susceptibles d'induire des réactions croisées. Incidemment, les maladies auto-immunes sont plus fréquentes que jamais ; y aurait-il un rapport ?
Mis à part les considérations
ci-dessus, les vaccins contiennent généralement d'autres composants que
l'organisme pour lequel l'immunité est souhaitée. Ces matériaux peuvent
être ajoutés comme conservateurs, comme adjuvants (matériaux pour
stimuler la réponse immunitaire, habituellement ajoutés aux vaccins
non-infectieux [tués]), ou comme antibiotiques. Ces conservateurs et ces
adjuvants comprennent des toxines et des substances cancérigènes comme
l'aluminium (alun), le mercure (thimérosal), et de formaldéhyde. En
outre, de nombreuses protéines étrangères sont inclus si l'organisme a
été cultivé sur un tissu étranger comme le poulet ou des embryons de
canard.
Encore plus effrayant, des
organismes non-desirés sont parfois accidentellement incorporés en tant
que contaminants "passagers clandestins". En 1995, le Washington Post a
rapporté que le vaccin ROR produit par Merck & Co. comme certains
vaccins antigrippal et contre la fièvre jaune, contenaient une enzyme
appelée transcriptase inverse. Cette enzyme est associée aux rétrovirus
comme le FeLV, FIV et le VIH, et a la capacité de modifier l'information
génétique, conduisant à des maladies graves telles que la leucémie et
autres cancers. Ces maladies peuvent prendre des années à se manifester,
si bien que la corrélation avec la vaccination peut être impossible,
masquant une relation potentiellement pathogène.
Les calendriers recommandés (âge
de vaccination) sont du Dr Schultz, avec quelques changements comme
suit : Il prend en charge l'utilisation de vaccins combinés, ce que je
déconseille fortement. Il recommande donc pour les chats de combiner la
panleucopénie (FPL), le calicivirus (FC) et la rhinotrachéite (FVR) dans
une annexe ; J'ai recommandé d'utiliser le vaccin intranasal FVR-FC que
si nécessaire, et séparément du FPL.
Chez les chiens, il combinerait
la maladie de Carré (CD), la parvo (CPV) et l'hépatite, et
éventuellement le corona et le parainfluenza. Je recommande un vaccin
unique pour la CD et la CPV, non-combiné donc.
Je soutiens généralement
l'utilisation de vaccins non-infectieux [tués], car je pense qu'ils ont
moins de probabilité de causer des dommages à long terme, mais le Dr
Schultz présente un dossier solide pour l'utilisation de vaccins vivants
modifiés (MLV), et que le rappel peut être nécessaire avec des vaccins
non-infectieux. Avec les MLV, une dose peut avoir une grande efficacité.
Cela s'applique principalement aux DC et CPV ; de même que
l'anti-rabique non-infectieux [tués] et le FP sont aussi efficaces que
les MLV.
Selon le Dr Schultz, une dose de vaccin à un âge donné immunisera avec succès 95% des animaux. Voir les suggestions suivantes :
-
La maladie de Carré (MLV) 10-12 semaines
-
Parvovirus canin (MLV) 12 à 14 semaines
-
Feline Panleukoenia (non-inf. [Tués] OK) 10-12 semaines
Pour finir, un commentaire sur la vaccinations et le choix.
Bien que le concept de
"posséder" un animal est une notion avec laquelle je suis mal à l'aise,
je reconnais que c'est ainsi que la relation homme-animal est considérée
d'un point de vue juridique. Sinon, nous pourions certainement nous
considérer comme les tuteurs de nos animaux de compagnie.
Dans
ce cadre, le choix de la vaccination repose sur l'homme qui a accepté
cette responsabilité de tutelle ; il ne repose pas sur le vétérinaire.
Une autre tendance de ces
dernières années est la contrainte subie par les tuteurs à propos des
procédures comme la vaccination. Cette contrainte peut être flagrante,
comme le refus de fournir des services et même des soins d'urgence sauf
si l'animal est à jour dans ses vaccins. Parfois, même les animaux
gravement malades sont vaccinés lors de leur admission pour le
traitement.
Des moyens plus subtils
comprennent l'induction de la peur et/ou de la culpabilité en affirmant
(comme une figure d'autorité) que les animaux de compagnie sont en
danger s'ils ne sont pas vaccinés chaque année, et que de ne pas s'y
conformer est la preuve d'un manque de soins.
Des
tactiques comme celle-ci peuvent créer des sentiments de culpabilité
chez les tuteurs, conduisant à une décision prise par peur et fondée sur
le sentiment que vacciner un animal n'est pas à risque. C'est contraire
à l'éthique, si ce n'est carrément une faute professionnelle, et le
refus est une réponse acceptable.
Comme il a été indiqué
ci-dessus, la vaccination contre la rage est une obligation légale sur
un intervalle d'un à trois ans, de telle manière qu'un refus est un
risque juridique. Cependant, lutter pour changer ces lois est approprié.
Notes bibliographiques
-
T.R. Phillips, T.R., DVM and Ron Schultz, PhD, Canine and Feline Vaccinations in Current Veterinary Therapy, Volume XI Robert Kirk, DVM and John Bonagura, DVM, eds., 1992
-
Pitcarin, Richard, DVM, PhD, A New Look at the Vaccine Questions. Proceedings of the American Holistic Veterinary Medical Association, 1993.
-
Dodds, W. Jean, DVM, More Bumps on the Vaccine Road, Proceedings of the American Holistic Veterinary Medical Association, 1995.
-
Young, Arthur, DVM, Personal communication.
-
Blanco, B. Dee, DVM, Personal communication.
-
Hamilton, Don, DVM, Personal observation.
-
Schultz, Ronald D., PhD, American Holistic Veterinary Medical Association Annual Conference, 1995.
-
Day, Christopher, E.I., MRCVS Isopathic Prevention of Kennel Cough - Is Vaccination Justified? International Journal of Veterinary Homeopathy, Vol. 2, number 2, 1987.
-
Scheibner, Viera, PhD, Vaccination: The Medical Assault on the Immune System, Australian Print Group, Maryborough, Victoria, Australia, 1993, p. 21.
-
Dodds, 1995.
-
Ibid.
-
Scheibner 1993.
-
Coulter, Harris, PhD, Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books, 1990.
(extrait) Les dangers de la vaccination
par Donna Starita Mehan, Docteur en médecine vétérinaire
Source : http://www.shirleys-wellness-cafe.com/Homeopathy/Nosodes.aspx
Source : http://www.shirleys-wellness-cafe.com/Homeopathy/Nosodes.aspx
La vaccination de routine, telle
qu'elle est pratiquée aujourd'hui, n'est pas toujours efficace (en
particulier dans le cas du vaccin contre la leucémie féline), et
présente fréquemment des effets secondaires indésirables, à court ou à
long terme.
Avec
l'utilisation de multivalent (combinaison 4 en 1, 6 en 1, etc.), et les
vaccins qui se répètent année après année, la fréquence et la gravité
de ces effets secondaires chez nos animaux de compagnie a augmenté de
façon spectaculaire.
Sans surprise, la plupart des problèmes concerne le système immunitaire. Après tout, les vaccins sont conçus pour stimuler le système immunitaire. Mais ils le font d'une manière très peu naturelle, de telle sorte que cela peut submerger et confondre le système immunitaire.
Le corps peut réagir de façon
excessive à des substances normalement inoffensives (allergies, en
particulier les allergies aux puces et d'autres problèmes de peau), ou
même produire des anticorps contre lui-même (maladie auto-immune). Dans
le même temps, le corps peut être lent à répondre aux organismes qu'il
doit rejeter, tels que des virus, des bactéries, des champignons et des
parasites. Cela peut entraîner une
sensibilité accrue aux infections aiguës (telles que les infections de
l'oreille chez les chiens, les infections de la vessie chez les chats),
des problèmes chroniques de ténia ou, dans des cas plus dégénératifs, le
cancer.Sans surprise, la plupart des problèmes concerne le système immunitaire. Après tout, les vaccins sont conçus pour stimuler le système immunitaire. Mais ils le font d'une manière très peu naturelle, de telle sorte que cela peut submerger et confondre le système immunitaire.
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'étais en quête d'infos sérieuses sur la vaccination du chien (pour moi la primo-vaccination est indispensable) et plus précisément sur le bien-fondé ou non des rappels annuels et c'est ainsi que je suis arrivée sur votre blog. Il est très difficile d'avoir des infos sérieuses, qui soient donc correctement sourcées, renvoyant vers des études scientifiques validées et non orientées, il est tout aussi difficile d'avoir un avis compétent auprès des vétos qui prêchent quasi tous pour leur chapelle. Si je suis à peu près convaincue que les rappels annuels pour la plupart des vaccins sont nocifs et non fondés, je reste néanmoins prudente car quand je vois les propos complètement faux et dangereux des anti-vax (pour humains) qui foisonnent sur internet, j'ai un peu peur que la vaccination des animaux tombe dans les mêmes dérives catastrophiques. Sinon, je suis d'accord sur la plupart de vos propos. Sauf, petite erreur, vous dites que le déficit de l'attention/hyperactivité (TDA/H) et l'autisme (chez l'homme donc) sont liés à la vaccination mais c'est faux, il a été prouvé qu'il n'y avait strictement aucun lien. Voir ici : http://www.charlatans.info/vaccin-autisme.php
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20150422.OBS7759/autisme-et-vaccin-decidement-aucun-lien-de-cause-a-effet.html
Ceci dit, votre billet est un des plus documentés et sérieux que j'ai lu. Au moins, vous, vous ne parlez pas d'homéopathie comme alternative au vaccin car quand je lis ce genre de choses, j'ai des sueurs froides (quand on sait que l'homéopathie, que ce soit pour l'homme ou l'animal est juste une grosse arnaque et n'a aucune efficacité si ce n'est son placebo, cela aussi de nombreuses études l'ont prouvé).
Et puis je vois que vous mettez en garde contre ces mythes stupides du chien dominant, de la hiérarchie homme-chien, de l'aberration des céréales dans son alimentation de Carnivore, donc vous m'êtes tout de suite plus sympathique que les autres :)
Donc, j'ai un chien de berger qui va avoir 4 ans, a eu la primo-vaccination, rappel à l'âge d'un an et puis, c'est tout ! Car il a eu qques mois après ce rappel de vaccins, une myasthénie grave, maladie qui touche au système immunitaire (y aurait-il un lien...). Donc depuis, vaccination interdite. Mais comme il est guéri depuis bientôt un an, la question de la vaccination se pose à nouveau (pas pour la rage car ici en Belgique, le vaccin n'est plus du tout obligatoire depuis mars). Mais vu ses antécédents médicaux et vu que les vaccins sont quand même immunogènes, le vacciner me semble quand même très délicat et risqué. Ce à quoi ma véto répond qu'il est tout aussi risqué qu'il choppe une de ces maladies contre lequelles on vaccine et conseille de faire au moins la lepto (elle a eu 2 cas de chiens morts de la lepto) dont la duré d'immunité n'est que de 6 mois à un an et le carré, l'hépatite et la parvo dont les rappels sont conseillés après 3 ans même si la durée d'immunité pour ceux-là est de 7 ans. Quitte à les faire séparément et non en vaccin combiné. Je précise qu'elle n'est pas intéressée pour son portefeuille :)
Je suis donc un peu perdue et ne sais plus quoi penser, tout ce qui m'importe plus que tout, c'est de ne pas mettre la vie de mon chien en danger. Il me semble qu'il est possible de faire des titrages d'anticorps pour vérifier si le chien est encore immunisé contre toutes ces maladies, je pense que je vais m'orienter vers cette solution qui aura au moins le mérite de me rassurer (sauf pour la lepto dont la duré d'immunité est dépassée depuis longtemps et que je ne me risquerai pas à faire vu les effets secondaires).
Enfin, toutes mes excuses pour la longueur de mon message et merci pour votre blog très pertinent !
Bonjour,
RépondreSupprimerJe suis heureuse de voir un article aussi détaillé et recherché sur la vaccination animale. Me posant la question de la vaccination humaine depuis plusieurs années, je reconnais ne pas mettre penchée plus que ça sur celle de mes chiens, faisant confiance à mon veto et voulant absolument protéger mes toutous.
Cet article me permet de me remettre en question aussi pour mes animaux et je pense en discuter avec mon vétérinaire prochainement.
Je vous remercie également pour votre article sur les croquettes. Je faisait déjà des recherches depuis plusieurs mois pour donner les meilleurs croquettes à mes chiens et cela a conforté mon choix d'une nouvelle marque + du raw feeding.
Pour le commentaire précédent (même si j'arrive longtemps après), je voudrais "compléter" vos propos.
En ce qui concerne le lien vaccin/TDA-autisme, lisez l'article du magasine Nexus sur la vaccination écrit par un médecin et extrêmement bien documenté (avec tous les liens). Il ne se veut pas anti-vaccins mais il pose de bonnes questions, des réfléxions censées et l'envie de se renseigner plus (il mentionne, entre autre, que l'Italie a rendu 2 jugements en faveur de parents attaquant le vaccin comme cause de l'autisme de leurs enfants).
Dire que les anti vaccins ont faux et sont dangereux est un raccourci et quand on connait le pouvoir des lobby pharmaceutique, c'est plutôt de ces derniers que je me méfie.
J’espère en tout cas que vous avez trouvé une solution pour votre chien et qu'il se porte bien.
Bonjour,
RépondreSupprimerPrésenter une bibliographie comprise entre 22 et 30 ans d'ancienneté est simplement risible en médecine et pour toutes les sciences.
Vos accusations sur les pratiques vétérinaires sont également ridicules.
Ne vous inquiétez pas pour votre activité, nous n'avons généralement pas le temps de nous consacrer suffisamment aux troubles du comportement.
Je travaille heureusement en collaboration avec un bon professionnel du comportement qui ne passe pas son temps à étaler une pseudo maîtrise de la médecine glanée sur internet et des vieux articles de 30 ans.
Dr Arnaud Lecourt Vétérinaire
Bonjour Dr Lecourt,
SupprimerJe vois que vous avez préféré tenter de me discréditer plutôt que d'apporter de réels arguments en faveur des rappels annuels de vaccins.
Un grand classique...
Certes, les études du Dr Schultz, spécialiste en immunologie vétérinaire, commencent à dater maintenant. Leurs résultats sont-ils moins vrais pour autant ?
Cela fait plus d'une vingtaine d'années que votre médecine sait que les rappels annuels de vaccins sont inutiles et dangereux !
Le principe même de la vaccination - de toutes les vaccinations - est de créer une mémoire immunologique qui perdure pendant plusieurs années. Pourquoi serait-ce différent pour les animaux ?
Mais j'imagine que vous en saurez pas répondre à cette question.
Vous parlez d'accusations, et vous avez raison.
Oui, j'accuse de très nombreux vétérinaires d'entretenir l'ignorance et la peur chez les propriétaires des animaux.
Oui, j'accuse de très nombreux vétérinaires de sur-vacciner nos animaux au mépris de leur santé.
Oui, j'accuse de très nombreux vétérinaires d'entretenir des relations tellement étroites avec les industrie pharmaceutiques et alimentaires qu'ils en viennent à agir comme des lobbystes plus que comme des médecins.
Et je vais vous épargner toutes les choses dont je pourrais encore vous accuser au sujet de l'alimentation...
Certains de vos confrères et consœurs - trop rares encore malheureusement mais cela tend à s'amplifier - dénoncent cette pratique de la médecine vétérinaire qui tient absolument à continuer à vacciner nos animaux tous les ans au mépris de leur santé comme à continuer de les nourrir avec des croquettes dignes de la pire des malbouffe.
Cela étant dit, ce blog est un espace où il est possible de s'exprimer librement et je ne pratique aucune censure. Vous pouvez donc tout aussi librement apporter vos arguments en faveurs des rappels annuels de vaccins.
En Effet Dr Lecourt, la biblio citée est ancienne. La plus récente suggère pourtant que la plupart des vaccins protègent très longtemps et qu'un rappel annuel est tout a fait superflu, sauf pour la trésorerie de vos officines bien entendu.
SupprimerVoir par exemple J Comp Pathol. 2010:142 Suppl 1:S102-8.
Age and long-term protective immunity in dogs and cats.
Schultz RD1, Thiel B, Mukhtar E, Sharp P, Larson LJ.
cordialement, Daniel Alexandre, CNRS;
bonjour,
RépondreSupprimercela fait 4 ans que je me suis basée sur l'alimentation animale et maintenant je suis heureuse de pouvoir donner l'alimentation maison à mes animaux, chiens et chats en plus des croquettes NOW qui n'ont pas de céréales mais également un taux très bas de calcium et phosphore.
Je me suis ensuite intéressée aux vaccins, mon premier chat ayant développé une boule entre les épaules. J'ai demandé ensuite au véto de faire le vaccin sur la cuisse. Ensuite, j'ai vu qu'il ne fallait pas d'adjuvants. Ce que j'ai demandé à ma nouvelle véto.
Malgré cela mes 2 autres chats ont développé des boules qui heureusement avec des compresses tièdes plus alcool plus un traitement homéo (et oui j'y crois à l'homéo et la phyto). Elles ont disparu, depuis je ne fais plus vacciner. TERMINE
Il faut se poser les bonnes questions avoir l'esprit critique envers tous ces lobbys pharmaceutiques que ce soit pour animaux que pour humains, car nous sommes également concernés comme nos animaux.
Je vais faire pareil pour notre chiens qui a 2 ans et pour qui on nous bassine de faire vacciner tous les ans (peut§être oui pour la leischmaniose mais je me renseignerais également pour ça, nous sommes dans le sud de la France)
Je suis heureuse d'avoir lu l'article sur la vaccination, cela me conforte et ma véto m'a dit que maintenant la réglementation va changer. HOURRA merci pour tous ceux qui écrivent ces blogs et nous renseignent.
Bonjour
RépondreSupprimeret pour la leptospirose quels sont les risques car je suis en conflit avec mon véto qui me tien tête pour vacciner mes chiens pour la lepto car je j'habite en campagne avec des chevaux et donc présence de rats malgrés les poisons mis .. je refuse ce vaccin car j'ai eu des chiens avec maladies auto immunes , problèmes chroniques de peau , des larmoiements des yeux chroniques , décé pour maladie du foie et du pancréas , paralysie des membres chez une chienne de 12 ans seulement ils étaient tous vaccinés plusieurs fois avec la leptospirose en même temps que le vaccin combiné et j'ai eu une chienne qui est morte à 19 ans d'un cancer des mamelles tartif et elle n'avait jamais eu de vaccin pour la leptospirose alors ???? avez vous des informations sur les bénéfices / risques réels sur la vaccination leptospirose , les autres vaccins sont faits tous les 3 aou 4 ans à voir plus du tout une fois le protocole de base du chiot fait , j'attend surtout que mes chiots aient dépassé les 16 à 20 semaines pour faire un rappel de parvo et terminé.
Merci de votre aide pour la leptospirose (pas mal de cas en ce moment dans ma région d'après le vétérinaire)
coridalement
Des vétérinaires qui font des actions contraires à l’éthique étant inutiles et/ou néfastes pour leurs patients seulement pour l’argent car nous vivons dans une société capitaliste ? Nooon… arrêtez vos chars s’il-vous-plait !
RépondreSupprimerEt dire que l’on vaccine nos compagnons pour seule raison notre peur de la mort… Abérant.
L'article parle d'eugénisme (dont je suis un fervent défenseurs) dans le plus grand des calmes sans même s'en rendre compte.
Je ne connaissais pas les vaccins combinés & le fait d'en connaître l'existence me fait paraitre cela aberrant.
Vacciner un animal malade (donc réduire la quantité de globules blanc disponible) & une mise à mort, qu’elle différence ?
J'aimerais faire de la nourriture maison pour mes chiens (et probablement pour mes chats) mais en tant que jeune végétalien intégral, je considère comme étant presque inaccessible l'achat de viande d'animaux ayant vécu décemment pour mes animaux de compagnie.
- Bonjour , il est évident que les vaccins combinés , surtout si les animaux concernés n'y sont pas exposés .....
Supprimer- Et concernant les rappels annuels , vérifier leur durée d'efficacité .
- le plus grave , et ce n'est pas un avis , les AG fixes , à préférer les gazeuses , même pour un simple bilan ( si nécessaire ) , car très nocives pour les reins . Risques d'IRA .
- A titre d'exemple , l'isoflurane ( le plus courant ) ; 0,2% seulement passe dans le sang , et le réveil est immédiat .
- Pour la nourriture crue , donc toutes viandes , interdit ( organismes parasites divers ) .
- On peut la mélanger à des carottes , courgettes , par exemple . Pas de patates aussi .
- Pour les croquettes , que de la qualité supérieure ; l'avantage , c'est qu'elles participent au nettoyage dentaire . Le gros inconvénient , est le manque d'eau .
- Surtout si c'est un IRC .
- Pour terminer , ce n'est pas une IRC qui tue un minet ( la mienne a vécu 11 ans avec du nélio et ipakitine ) . DCD à 12,5 .
- C'est bien une IRA sur IRC , mal soignée .
- J'ai simplifié , et encore des choses à apprendre . Mais une chose est sûre . Un véto qui pratique d'entrée une AG fixe pour 2 ou 3 minutes .....
- Cordialement , et meilleurs vœux .